Sorbet d'Abysses
Lorsque la famille du brillant philosophe Égault Lévy apprend qu’il est atteint d’une maladie de démence, le monde manque de s’écrouler. Shirley, sa femme soumise, ainsi que ses trois enfants sortent alors de leurs retranchements. Subir ou ne pas subir ? Accepter ou se révolter ? Chacun va être invité à modifier sa façon de voir la vie face à cette descente dans les entrailles de la mémoire et du langage. La maladie cache dans ses souffrances des portes de sortie étonnantes.
«L’oubli est un animal sauvage qui dévore tout sur son passage, prône-t-il en s’éclaircissant la gorge. Il commence par mordre ce qu’il a de plus proche, les membres de sa famille… »
En dédicace chez Payot, photographie: Christian Rossier
Revue de presse
« J’ai pris le langage comme une boule à différentes facettes »
24 heures, 6 mai 2015
La maladie s'est inscrite comme déraillement possible du langage
La Libre Belgique, 4 mai 2015
Jouissif, il se lit
comme une ode à la liberté
Générations, octobre 2015
La force de ce livre tient, on l’aura compris, non pas à la maladie, mais aux remises en question qu’elle peut entraîner.
Ma collection de livres, 5 mai 2015
Ce sorbet, aux multiples parfums, ne laisse pas un goût amer.
contrepoints.org, 11 juin 2015
C'est une sorte de drame
qui est désamorcé par un usage
très singulier de la langue
[verso-hebdo], 15 octobre 2015
« Lévy était un maître du logos »
Le Matin Dimanche, 14 juin 2015
Insolite jusqu'au baroque
Marie-Claire, août 2015
Bien documenté Sorbet d'abysses déborde d'humanité mais nous emmène en enfer
L’Hebdo, juillet 2015
Sur le petit écran
Interview: Daniel Bernard, France Loisirs, mai 2015