Christian Rossier
Christian Rossier est lié intrinsèquement à l'aventure de mon premier roman «Mademoiselle Faust» mais aussi en tant que photographe de presse qu'il était à l’époque, nous avons réalisé quelques reportages ensemble. Il a toujours été présent, à la fois bienveillant et d'un perfectionnisme redoutable, là pour créer des portraits noir-blanc qui ont servi pour «l'Hebdo», là encore à Paris au Centre culturel Poussepin lors du vernissage en compagnie de Jacques Barbaut et de Gilles Zenou (disparu en 1989).
Pour «Les Bouches», Christian Rossier a couvert le vernissage chez Basta et assuré les portraits pour «24 heures», «Femina» et «Coopération». A la sortie de «Fringales», il a immortalisé la lecture donnée à la librairie du Château à Rolle et gardé une trace du vernissage chez Payot en 2015 pour «Sorbet d’abysse». Méticuleux et discret, il sait disparaître et faire oublier à son modèle son statut de gazelle traquée par l'iris prédateur de l’objectif. Cherchant la perfection visuelle, Christian Rossier s'est aussi occupé de toutes les photos de mon site concernant «Mademoiselle Faust» et «Les Bouches» de la couverture des livres aux portraits. Il est le photographe le plus littéraire que je connaisse.
Signature de Mademoiselle Faust à Paris, avec Noël Blandin.
Signature de Mademoiselle Faust à Paris, avec Gilles Zenou.
Signature de Mademoiselle Faust à Paris, avec Jacques Barbaut.
Signature de Mademoiselle Faust à Paris, avec un inconnu.